Observations de bon sens sur l'esprit par un méta-esprit





Vers le Haut, et non pas vers le Nord... - Flatland

Le mental se sert de vous et vous vous êtes inconsciemment identifié à lui. Par conséquent, vous ne savez même pas que vous êtes son esclave. C'est un peu comme si vous étiez possédé sans le savoir et que vous preniez l'entité qui vous possède pour vous-même.
La liberté commence quand vous prenez conscience que vous n'êtes pas cette entité, c'est-à-dire le penseur. En sachant cela, vous pouvez alors surveiller cette entité.
Dès l'instant où vous vous mettez à observer le penseur, un niveau plus élevé de conscience est activé et vous comprenez petit à petit qu'il existe un immense royaume d'intelligence au-delà de la pensée et que celle-ci ne constitue qu'un infime aspect de cette intelligence.
Vous réalisez aussi que toutes les choses vraiment importantes – la beauté, l'amour, la créativité, la joie, la paix – trouvent leur source au-delà du mental.
Et vous commencez alors à vous éveiller.

Extrait de "Le pouvoir du moment présent" d'Eckhart Tolle



Très court résumé de la philosophie de Marcel FORHAN, philosophie qui nous explique pourquoi et comment devenir la meilleure version de soi :

Chaque parole, chaque pensée, chaque désir, chaque action produit des effets. Plus nous comprenons que nous sommes les victimes ou les bénéficiaires de nos productions mentales et plus nous nous donnons une chance de transformer nos vies et d'améliorer notre bien-être et, par ricochet, celui de nos proches.

Souffrances, injustices, guerres et autres horreurs nombreuses et variées sont dues à l'égoïsme généralisé et au nourrissage de nos peurs.

En décidant de ne pas participer aux injustices sociales et morales, en agissant dans l'intérêt général, non seulement nous nous élevons nous-mêmes spirituellement, mais nous participons aussi à l'éveil et à l'évolution de l'humanité.


Connaissez-vous cette technique d'Aïkido qui consiste à donner l'espace à votre adversaire ?
L'adversaire s'approche de vous mais ce n'est pas vous qu'il veut, c'est l'espace qu'il y a autour de vous ; alors vous sortez de cet espace, vous le lui donnez en quelque sorte, et l'adversaire se retrouve en déséquilibre, à votre merci.
Adaptez cette expérience aux conflits interpersonnels en général et vous aurez votre première technique de recadrage !
D'autres suivent, voir ci-dessous...
 
Le conditionnement d'un comportement est modulé par ses conséquences :
- si celles-ci sont mauvaises ou absentes, le comportement a tendance à disparaître ;
- des conséquences favorables renforcent un comportement. Celles-ci peuvent être directes (stimulus positif) ou indirectes (éloignement d'un stimulus négatif).
Chacune de nos actions, avant même d'être effectuée, est envisagée par notre cerveau dans son résultat éventuel selon que celui-ci sera assimilé à un succès ou un échec passé lors d'une circonstance analogue.
C'est ce que l'on appelle l'état de motivation d'un comportement.
A ceci s'ajoute le plaisir éprouvé lors de la résolution d'un problème ou lors d'un effort créateur. Ce plaisir pourrait être la conséquence d'une excitation du système de récompense cérébral avec d'une part production de dopamine en grande quantité et d'autre part sécrétion d'endorphines amenant la sensation d'euphorie, d'apaisement et de bien-être qui suit tout acte créateur mené à son but.
Cette stimulation neuro-hormonale "gratifiante" va entraîner à son tour une nouvelle hyperactivité cérébrale afin que le système de récompense soit à nouveau mis en action dès l'acte de création recommencé avec succès, et ce sans fin. Tel serait le mécanisme neurobiologique du génie : une "auto-toxicomanie" aux endorphines naturelles du cerveau...


En thérapie comportementale rationnelle émotive, l'idée est de montrer que nos émotions dépendent de nos croyances et de notre manière d'interpréter les faits. Pour résumer, un fait Activateur (A) va déclencher une émotion C (comme Conséquence ou Comportement) qui peut varier en fonction de nos croyances B (comme Beliefs).
A => B => C ou encore, pour les mathématiciens, C = A x f(B)
Un même A, en fonction de B, donnera des C différents...
Chacun aura une réaction différente face à une situation en fonction de son vécu. Les traumas du passé laissent des empreintes et ces empreintes sont réactivées par certaines situations. Nous y réagissons de différentes manières en fonction de nos croyances et préjugés, souvent irrationnels ou dépréciatifs, vis à vis de nous-mêmes ou des autres. Ce n'est pas le fait lui-même mais notre manière d'interpréter celui-ci qui détermine notre réponse émotionnelle.
Ne pouvant changer les faits (A), Albert Ellis, qui est à l'origine de cette forme de thérapie, propose de travailler avec le patient pour essayer de prendre conscience et changer - déconstruire - certaines des interprétations qu'il fait (B) et qui l'amènent à avoir les comportements dont il souffre (C). L'objectif est d'offrir au patient des alternatives à ses croyances irrationnelles, d'arriver à tolérer sa frustration et d'accepter que l'on ne peut changer le monde mais qu'on peut changer sa vision du monde et sa philosophie personnelle.

Mais rien de nouveau sous le soleil :
Comme Marc-Aurèle l'a très bien dit : "Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être, mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre."

Et Epictete : "Ce ne sont pas les choses qui troublent les hommes, mais l'opinion qu'ils en ont."

Et enfin : "Rien n'est bon ni mauvais en soi, tout dépend de ce que l'on en pense."
Hamlet, II, 2 (1601) de William Shakespeare

Dans le même ordre d'idée, il est bon de s'intéresser aux biais cognitifs

Nous avons 5 sens physiques (vue, ouïe, toucher, odorat et goût), voire plus si l'on inclut la proprioception, l'intuition, l'empathie ou tout simplement le sens de l'équilibre. Chacun de ces sens a un spectre (positionnement et étendue dans la gamme des perceptions) spécifique, différent pour chaque espèce animale, voire pour chaque être au sein d'une même espèce. Ainsi, l'ensemble des sens perçoit la mer d'énergie qui nous entoure à partir d'un certain point de vue limité et se fabrique une représentation de la réalité on ne peut plus partielle et partiale, ni complète ni précise.
À cela s'ajoute l'interprétation que nous autres, êtres humains, y ajoutons à partir de notre expérience passée, de nos souvenirs (réels ou fabriqués), de nos traumatismes, de nos besoins, de nos désirs, de nos peurs : les fameuses œillères et autres "lunettes roses". C'est ce que certains ont appelé notre "mappemonde interne"... Ce qu'il faut savoir, c'est que rien n'empêche de retravailler cette mappemonde en réorientant notre petit bout de la lorgnette ou notre prisme !
Le lien avec la thérapie comportementale rationnelle émotive évoquée juste avant n'aura pas échappé au lecteur attentif...


Un des aspects du mimétisme social à connaître absolument réside dans le fait que nous finissons par ressembler à la moyenne des cinq personnes avec lesquelles nous passons le plus de temps. Les individus que vous côtoyez le plus peuvent être le principal facteur conditionnant votre qualité de vie et la personne que vous devenez.
Si vous êtes entouré de personnes paresseuses, faibles d'esprit et qui se cherchent sans cesse des excuses, vous finirez sans doute par leur ressembler.
Passez du temps avec des personnes brillantes et positives, et leurs attitudes et habitudes pertinentes déteindront sur vous. Vous leur ressemblerez de plus en plus.
[extrait de Miracle Morning]

La falsification des préférences : théorie développée par l'économiste Timur Kuran décrivant comment un individu modifie publiquement ses opinons personnelles afin de s'intégrer dans un groupe. En résumé, l'individu a tendance à se conformer aux préférences du groupe, au mépris des siennes, afin d'obtenir approbation, affection, voire avancement au sein de ce groupe. Cette attitude qui consiste à "ne pas faire de vagues" va lui éviter de perdre sa place parmi ceux qu'il considère "comme il faut" et lui éviter ainsi d'être l'objet de moqueries, d'irrespect voire d'ostracisme.
On peut se dire que l'on est simplement face au principe bien connu du mouton... sauf que ce phénomène peut aboutir à des aberrations telles que la majorité modérée, par sa passivité, non seulement ne combat pas mais en vient à tolérer, voire faire sienne publiquement, les valeurs d'une minorité extrême, lui donnanr ainsi plus de poids.
Or, des chercheurs de l'Institut Polytechnique Rensselaer ont déterminé qu'il existe un point mathématique de basculement à partir duquel des opinions minoritaires se répandent dans le reste de la population. Ce point de basculement est malheureusement très bas : à 10% d'individus !
Ne nous étonnons donc pas d'en être où nous en sommes aujourd'hui, à force d'hypocrisie et de renoncements face à des minorités braillantes et gesticulantes !...
Ceci explique également pourquoi on se réveille un matin avec la gueule de bois et cette question "Comment en est-on arrivé là ?!", quand la logique et le bon sens reprennent trop tard le dessus...
Ceci explique enfin le caractère cyclique des civilisations et les régressions dont sont victimes nos sociétés. Le progrès n'est malheureusement jamais acquis...
La règle des 90/10 : Stephen R. Covey a théorisé le fait que seulement 10% de ce qui nous arrive est indépendant de nous. Les 90% restant dépendent de notre volonté, de nos réactions et de notre attitude face à la vie. Si l'on se croit victime, on l'est principalement de soi-même !
Analysez votre vie et vérifiez...
Lors de la prochaine situation "énervante", observez votre réaction : en fonction de celle-ci tout peut changer ! Une réaction négative et tout ce qui en découlera sera votre faute ; une réaction positive et tout ce qui en découlera sera votre réussite !... Et sera votre choix...

Névrose :
Symptôme : "Pourquoi moi ?" et/ou "Pourquoi pas moi ?"
Remède : Penser aux autres et non qu'à soi...
Le fait de connaître la structure de la psyché permet de mieux appréhender les forces auxquelles le commun des mortels est confronté.
Le modèle des instances et images archétypiques de Jung explique beaucoup de chose => schéma.
Etre à l'écoute de ses rêves permet d'appréhender les conflits se déroulant au sein de l'Inconscient ainsi que les moyens de les résoudre.
La sublimation et la parfaite coordination de ces instances représentent l'objectif du processus d'individuation au cours duquel une personnalité nouvelle et enrichie émerge des profondeurs et prend forme.
C'est la réalisation du Soi, l'accomplissement et le couronnement d'une vie : le Grand Œuvre alchimique.


"Beaucoup se sont libérés de la souffrance et ont atteint la perfection en faisant des sensations un simple objet d'observation.
La sensation, plus qu'aucun des autres agrégats, risque de servir de base à notre attachement pour la simple raison qu'elle est le but premier de toute notre agitation et de toutes nos actions.
Nous étudions avec sérieux et travaillons pour gagner de l'argent avec lequel nous achetons toutes sortes de choses : ustensiles, nourriture, amusements, depuis la gastronomie jusqu'au sexe. Nous profitons de ces choses dans un unique objectif : le plaisir des sens, autrement dit la stimulation agréable de nos yeux, nos oreilles, notre nez, notre palais et notre corps. Nous investissons toutes nos ressources financières, physiques et mentales dans l'unique perspective de sensations agréables.
D'ailleurs, chacun sait, au fond de lui, que jamais il n'investirait tant d'études, de travail et d'énergie s'il n'espérait en retirer un profit sous forme de sensations agréables. Il est donc bien évident qu'il s'agit là d'un point crucial.
Connaître et comprendre l'importance des sensations nous permet d'en garder le contrôle, nous élève au-dessus d'elles, et nous donne la possibilité d'accomplir nos tâches bien plus efficacement. De la même manière, les problèmes sociaux ont leur origine dans la sensation de plaisir et, lorsqu'on analyse de près les heurts entre nations ou entre blocs opposés, on découvre, là aussi, que les deux côtés sont esclaves de la sensation de plaisir.
Les guerres ne naissent pas de la foi en une doctrine, un idéal ou quoi que ce soit, mais de l'anticipation du plaisir sensoriel. De chaque côté, on s'imagine accumulant toutes sortes de gains et de richesses. La doctrine n'est que le camouflage ou, au mieux, une motivation secondaire. La cause la plus profondément ancrée de tout conflit est, en réalité, la soumission au plaisir de la sensation.
Connaître la sensation, c'est donc être conscient d'une cause essentielle de notre esclavage aux pollutions de l'esprit, au mal et à la souffrance."

Extrait de "Manuel pour l'Humanité" de Buddhadasa Bhikkhu


Pour vous rendre invisible socialement, appliquez dans vos conversations ces trois principes :
- la non-généralisation,
- la non-idéalisation,
- la non-explication.
En effet, la généralisation, l'idéalisation et l'explication débouchent sur un conformisme permettant d'appartenir à un groupe partageant les mêmes opinions et, de fait, de marquer ses distances avec d'autres groupes.
L'abandon de ces trois réflexes grégaires vous rendra donc totalement inintéressant en société. Par contre, vous serez prêts à vivre dans un monastère où le voeu de silence a été prononcé. Vous pourrez en profiter pour vous demander ce que vous faites là... Âmes sensibles, s'abstenir !
Vous pourrez également commencer à jouer de la psychomorphose ou approfondir la philosophie du Tao.
Tout le monde "souffre" de personnalités multiples. En plus des archétypes jungiens et autres instances psychanalytiques répertoriées, différents je, persona ou moi occupent successivement le devant de la scène. L'un peut-être colérique, l'autre sage, l'un généreux, l'autre amorphe...
L'intérêt, quand on en devient conscient et qu'on sait qu'il existe, est de mettre en avant celui que nous avons déjà expérimenté et qui nous paraît le plus adapté à la situation.
Par exemple, chacun a éprouvé, à un moment ou à un autre de sa vie, une sensation de plénitude ; il semble intéressant de se remettre en situation en refaisant appel au moi opérant à ce moment là.
Ceci est valable pour n'importe quelle situation...
Un Je supérieur individuel (donc non archétypal) existe mais rares sont ceux qui l'ont déjà expérimenté... et sont donc aptes à lui laisser la place qui devrait lui revenir !



Comme vu supra avec Albert Ellis, nos croyances créent des biais cognitifs à travers lesquels nous passons l'environnement au crible et nous l'interprétons. Il est alors facile de trouver des preuves qui correspondent à ce que nous croyons être vrai...
Le biais d'ancrage : consiste à ne retenir qu'une seule information pour juger d'une situation donnée.
Le biais de représentativité : nous fait juger une personne en nous fondant sur quelques informations que nous considérons comme représentatives de cette personne.
Le biais d'interprétation : lorsque vous avez peur d'une situation inconnue et que vous imaginez le pire, vous êtes sujet aux biais cognitifs d'interprétation, dont notamment la dramatisation ou biais négatif d'interprétation. Cela aboutit souvent à l'étiquetage d'une personne ou d'un groupe et aux préjugés.
Le biais du besoin de reconnaissance : il est à la source du trac. En effet, la peur d'être jugé suppose le besoin d'être apprécié, d'être reconnu. Ce besoin de reconnaissance interfère dans notre vie en influençant nos choix et en nous empêchant d'être nous-mêmes, préoccupés que nous sommes par le regard de l'autre... La solution ? Accepter ses défauts !... sans pour autant s'y complaire (cf.le "be yourself" qui sert souvent d'excuse aux fainéants).
Le biais de la conformité sociale : c'est l'attitude poussant à adopter le même comportement, le même avis que celui d'un groupe d'individus. Ça vous dit quelque chose ?
Le biais de sur-confiance : si vous commencez un apprentissage quelconque, il arrive d'être victime du biais de l'illusion de connaissance ou biais de sur-confiance. Tout apprentissage commence en effet par un pic de confiance en sa connaissance du sujet, conférant un sentiment de surpuissance. Ça ne dure pas !




Les sensations précédant une projection astrale peuvent être les suivantes : sifflements dans les oreilles, vertiges, fourmillements, vibrations, vagues ou tremblements dans tout le corps, tension au centre du front. Est-il possible de déclencher une sortie hors du corps en essayant de reproduire ces sensations ? A essayer...
Est-il possible ou souhaitable de forcer les choses en tournoyant tel le derviche tourneur ou l'enfant qui joue, jusqu'à avoir la tête qui tourne ? Pourquoi pas ?
 

L'illumination est aisée à atteindre : il suffit d'arrêter de vouloir !
Ne plus vouloir être, vouloir avoir, vouloir devenir, vouloir paraître, vouloir ressentir...



Ceci n'est pas un secret, vous pouvez en faire part à tout le monde.

D'autres façons d'atteindre l'illumination plus loin...
 

Tout le monde fait l'objet d'un dialogue intérieur, plus ou moins conscient.
Si on le mettait par écrit, nous nous apercevrions qu'il est souvent fait de remarques négatives et d'un sentiment de découragement ou d'impuissance, d'échecs ressassés, de ressentiments ou de regrets.
Rien ne nous empêche d'essayer de le réorienter ou le forcer avec des affirmations positives et un sentiment de paix, de joie, de gratitude ou d'amour envers la vie.

Plutôt que de rester dans notre ancienne programmation issue de relations, réflexions et expériences malheureuses, tant qu'à être programmé, autant choisir le programme...
Éloge de la schizophrénie....

Abraham Maslow s'est penché sur les expériences paroxystiques et a essayé de lister leurs caractéristiques.
Les expérimentateurs ont vu leur vie être transformée et ont vu émerger de nouvelles valeurs : confiance dans la vie, acceptation avec humour du monde et de son prochain, compassion pour l'humanité et respect de la vie, donc de la nature et des animaux, plus grande sensibilité à la beauté de l'univers et à la bonté de l'autre, plus grande acceptation de soi, donc moins de doutes et de blocages, gratitude...
Ne pourrait-on s'en inspirer pour en tirer quelques règles de vie ?....

A défaut d'être des acteurs,
soyez des spectateurs intelligents...

A défaut d'être un joueur d'échecs,
ne soyez pas un pion...

A défaut d'être le gardien du troupeau,
évitez de n'avoir le choix qu'entre manger ou être mangé...

A défaut d'être le Créateur,
ne soyez pas une simple créature...
Beaucoup sont violents parce que faibles ! Méchants parce que victimes ! Grossiers parce qu'abandonnés ! Débauchés parce que sans idéaux !

"Toute férocité naît de la faiblesse." SENEQUE



Il est indéniable qu'il y a de plus en plus de connards !
Pour survivre tout en évitant de basculer dans leur camp, une seule solution, faites comme Robert Sutton : étudiez-les, faites en des sujets d'expériences, apprenez d'eux !
Considérez-les comme une chance, une opportunité d'apprendre et de progresser !



Howard GARDNER, contrairement à de nombreux autres psychologues du 20ème siècle, considère qu'il existe plusieurs intelligences. Et nous avons chacun une combinaison spécifique de ces intelligences...
LOGICO MATHEMATIQUE
Ma relation à la logique pure, ma capacité à gérer de longues chaînes de relations logiques.
LINGUISTIQUE
Ma relation au langage. C'est l'intelligence de l'utilisation du mot juste.
INTERPERSONNELLE
Ma relation aux autres. Ma capacité à adapter mes interactions à mon interlocuteur et au contexte.
INTRAPERSONNELLE
Ma relation à moi-même et à mon développement personnel : se connaître soi-même, comprendre son potentiel et ses limites. Comprendre ses émotions.
KINESTHESIQUE
Ma relation mon corps. Proche de l'intelligence spatiale, elle concerne plus spécifiquement mon corps. C'est l'intelligence du geste adapté.
SPATIALE
Ma relation à l'espace qui me permet d'appréhender avec précision la position et le mouvement dans l'espace de tout objet.
NATURALISTE
Ma relation à la nature. Elle me permet de distinguer, d'identifier ce qui constitue le vivant. C'est l'intelligence qui permet d'être sensible à la nature.
MUSICALE
Ma relation au son. Elle me permet de distinguer les différentes fréquences sonores.
EXISTENTIALISTE
Ma relation à l'Univers et au sens de la Vie
De même, il existe plusieurs formes de connerie...
« Que vous pensiez être capable ou ne pas être capable, dans les deux cas, vous avez raison. »
Henry Ford





Visualisez-vous vous-même dans un avenir où vous serez serein, apaisé et heureux.
Ressentez-le.

C'est en l'éprouvant maintenant que vous le vivrez demain...
 
Les soi-disant régressions dans des vies antérieures ressemblent énormément à l'expression de fantasmes inconscients sous hypnose légère. Elles ont très souvent une action thérapeutique sur l'expérimentateur, du moins lors des premières. Ce mode d'accès à l'inconscient, un parmi tant d'autres, peut s'avérer, comme les autres, traumatisant, apaisant ou enrichissant. Cependant, les noeuds qu'il dénoue ne le sont pas forcément de façon appropriée (trop rapide ou trop tôt). Persister dans cette voie ne risque-t-il pas d'en créer de nouveaux ?
A manipuler donc avec précaution !
La projection dans l'avenir ne constitue-t-il pas un enjeu plus stimulant ? L'avenir commençant de suite, n'est-il pas plus intéressant de considérer que tout reste à faire ?
Et pourquoi ne pas se construire un avenir dont on serait fier dans une vie postérieure ?
Alfred de VIGNY a dit : "Une vie réussie est un rêve d'adolescent réalisé dans l'âge mûr."


Vous souhaitez vous débarrasser d'une fâcheuse habitude ?
Rien de plus facile !... ou difficile... A vous de voir...
En effet, il faut compter 3 semaines, c'est à dire 21 jours, soit un peu plus de 500 heures, pour s'empêcher de faire quelque chose ou pour acquérir une nouvelle habitude.
C'est beaucoup... et ce n'est pas beaucoup à l'échelle d'une vie si l'on songe qu'il suffit de savoir ça pour se débarrasser de quelque chose qui vous handicape peut-être depuis des années !...
Petite astuce : pour se débarasser d'une mauvaise habitude, plutôt que de lutter pour ne pas craquer, essayer de la remplacer par une autre, une bonne cette fois....


Le Surhomme, selon Nietzsche, est l'homme libre d'esprit et de coeur, le créateur, le point le plus haut de la transcendance humaine.
Par opposition, l'esclave est le faible, celui qui est incapable de créer authentiquement et vit dans le ressentiment. Ce ressentiment est conçu comme sentiment de rancune et d'amertume ; il est ressenti par les faibles devant les créateurs et les maîtres...
Choisissez votre camp ! (voir médiocrité)
 
On peut se considérer comme guéri à partir du moment où l'on a compris que la majorité n'a pas toujours raison...


Victor HUGO a très bien décrit pourquoi la psychomaturgie allait au-devant d'un grand nombre d'écueils :
"Tout homme a en lui son Pathmos. Il est libre d'aller ou de ne point aller sur cet effrayant promontoire de la pensée d'où l'on aperçoit les ténèbres. S'il n'y va point, il reste dans la vie ordinaire, dans la conscience ordinaire, dans la vertu ordinaire, dans la foi ordinaire, dans le doute ordinaire, et c'est bien. Pour le repos intérieur, c'est évidemment le mieux. S'il va sur cette cime, il est pris. Les profondes vagues du prodige lui sont apparu. Nul ne voit impunément cet océan là... Il s'obstine à cet abîme attirant, à ce sondage de l'inexploré, à ce désintéressement de la terre et de la vie, à cette entrée dans le défendu, à cet effort pour tâter l'impalpable, à ce regard sur l'invisible, il y revient, il y retourne, il s'y accoude, il s'y penche, il y fait un pas, puis deux, et c'est ainsi qu'on pénètre dans l'impénétrable, et c'est ainsi qu'on s'en va dans l'élargissement sans borne de la condition infinie."
Les écueils évoqués plus haut correspondent à la troisième peur...



 
N'attendre rien de personne permet de ne jamais être déçu.
On ne peut alors avoir que de bonnes surprises.
KANT affirme "Il faut remarquer que l'enfant qui sait déjà parler assez correctement ne commence qu'assez tard à dire JE ; avant il parle de soi à la troisième personne (Charles veut manger, marcher, etc.) ; et il semble que pour lui une lumière vienne de se lever quand il commence à dire Je ; à partir de ce jour, il ne revient jamais à l'autre manière de parler. Auparavant il ne faisait que se sentir ; maintenant il se pense."
Avez-vous jamais essayé de dire "JE" et de ressentir pleinement ce que cela signifie, tout ce que cela implique ? Rien qu'une fois... Pour voir...
Je pense que, si la lumière évoquée par KANT se lève chez tout le monde, elle ne brille pas fort pour la plupart... jusqu'au moment où ils font ce petit exercice de prise de conscience de ce que c'est que d'être JE !






La communication extra-temporelle existe, je l'ai testée !
Si vous vous sentez une âme épistolaire, adressez-vous une lettre à vous-mêmes dans 5, 10 ou 20 ans. Si vous êtes adolescent ou pré-adulte cela aura beaucoup plus d'intérêt qu'un journal intime. Dans la mesure où votre destinataire est parfaitement identifié, n'hésitez pas à évoquer des souvenirs forcément communs ou bien des attentes dont votre destinataire connaîtra non seulement la teneur mais aussi le résultat. N'hésitez pas à exprimer vos doutes, vos questions. N'hésitez pas non plus à demander conseil... à demander des nouvelles de vos amis communs !
Ecrivez ces lettres de façon régulière, mettez-les dans une enveloppe cachetée à votre nom avec la formule "A n'ouvrir que le (date actuelle + 5, 10 ou 20 ans) !".
Vous découvrirez 5, 10 ou 20 ans après que vous étiez une personne de valeur... avec ses qualités et ses défauts certes, mais aussi avec d'énormes potentialités. Si vous en regrettez quelques-unes, pourquoi ne pas les redéployer 5, 10 ou 20 ans après ?
Question : La Vie est-elle une sublimation de la Matière ou une maladie de l'Esprit ?
La psychomorphose consiste à ressentir profondément différentes conceptions philosophiques, politiques ou religieuses.
Cette expérience mentale suppose une certaine tolérance et ne doit pas reculer devant les thèses les plus radicales, extrêmes ou intégristes.
La faculté de s'imprégner d'un concept, de le faire sien, d'être capable de le défendre bec et ongle puis de s'en détacher, de le critiquer, de prendre du recul reste encore rare de nos jours. Elle aurait même tendance à être critiquée car considérée comme malsaine. En effet, pour la plupart, la vie n'est pas un jeu...
Elle est cependant la caractéristique de l'homme de demain. Elle s'oppose à la psychorigidité.
Attention, la psychomorphose exige une certaine culture ainsi qu'un don d'observation et d'écoute poussés.
Il ne suffit pas de conclure que "Tout est relatif" ; il faut le ressentir...ainsi que son contraire.
La psychomorphose est à rapprocher de l'empathie.




"Nous vivons comme si notre vie était éternelle, comme si la mort était quelque chose qui n'arrivait qu'aux autres, une menace si lointaine que ça ne vaut pas la peine d'y penser. Pour nous la mort n'est qu'une abstraction. Les gens traversent la vie comme des somnambules, ils poursuivent ce qui n'est pas important, ils veulent de l'argent et de la notoriété, ils envient les autres et s'emballent pour des choses qui n'en valent pas la peine. Ils mènent des vies dépourvues de sens. Ils se bornent à dormir, à manger et à s'inventer des problèmes qui les tiennent occupés. Ils privilégient l'accessoire et oublient l'essentiel... Mais lorsqu'on croise la Mort au coin de la rue, on sent désormais que son temps est précieux. Il faut en profiter pour revoir sa ligne de conduite et ses priorités, pour s'occuper de ce qui est vraiment important, pour écarter ce qui est insignifiant et faire la paix avec soi-même et le monde."
José Rodrigues dos Santos
 
Pour être heureux AUJOURD'HUI, arrêtez :
- de ressasser le passé
- de vous projeter dans l'avenir
- de résister au changement et vouloir tout contrôler
- d'essayer de plaire aux autres ou de les impressionner ou de vouloir avoir toujours raison
- de penser à vous négativement
- de nourrir des préjugés et des croyances limitantes
- d'attendre qu'on vous rende ce que vous donnez




L'évocation du pouvoir de l'imagination fait souvent sourire les esprits forts. Cependant, la simplicité de la Méthode Coué, de l'Autosuggestion ou du Training Autogène n'est qu'apparente ! En effet, la mise en pratique de ces techniques exige à la fois de l'imagination, de la constance, de la persévérance ainsi qu'une faculté de ressenti que seul l'entraînement et l'ouverture d'esprit permettent d'acquérir.
On comprend donc pourquoi il est plus facile de s'en moquer.
Cette situation est fort regrettable dans la mesure où les applications sont nombreuses, notamment dans les domaines thérapeutiques : la faculté de se visualiser (et de se ressentir) en pleine forme aussi bien physiquement que psychiquement permet d'aborder la vie avec un entrain rare. En effet, la visualisation d'un avenir où la maladie et la peur ont laissé la place à une santé resplendissante et une confiance en soi à toute épreuve a des effets psychosomatiques certains.
Les techniques de relaxation et de méditation sont des compléments indispensables à connaître pour en tirer pleinement parti et aller éventuellement plus loin sur le terrain d'expérimentations sans limites de notre esprit.





La peur fondamentale est celle de l'inconnu. Cette vérité trop évidente devient intéressante si l'on décompose cette peur en trois catégories :
- la peur de la mort,
- la peur de la différence,
- la peur de la liberté.
La première est inutile, la mort ayant toujours le dernier mot...
La deuxième correspond à un manque de culture aisément rattrapable (y consacrer au moins une vie)...
La troisième est la plus pernicieuse car personne n'ose la reconnaître !
 
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les puissances occidentales faisaient construire par leurs savants des appareillages complexes qui donnaient l'impression de servir à quelque chose de mystérieux, les installaient dans des boîtes blindées, tiraient dedans avec des munitions prises à l'ennemi, et s'arrangeaient pour qu'ils tombent entre les mains des nazis. Un seul de ces gadgets pouvait paralyser une douzaine d'experts précieux pendant des semaines avant qu'ils n'osent prendre la responsabilité de décider qu'il ne s'agissait pas d'une nouvelle arme secrète.
Chacun d'entre nous peut être victime de ce genre d'artifice manipulatoire.
Premièrement, sous la forme de fausses couleuvres destinées à maintenir le peuple dans l'ignorance en détournant l'attention générale de faits gênants pour le pouvoir en place.
Deuxièmement, l'abandon de convictions personnelles erronées est souvent très difficile dans la mesure où reconnaître ses erreurs de jugement est très frustrant. C'est l'"escalade d'engagement"... (voir manipulation et psychorigidité)
Une seule chose à apprendre : le sens critique.
Il oblige à comprendre tout le reste.

Une autre façon d'atteindre l'illumination consiste à se laisser envahir par la Lumière !
Chacun qualifiera la Lumière à sa façon et en choisira le point d'entrée :
le sommet de la tête, le coeur, les mains, les plantes des pieds...


Voir aussi le Samadhi...

 

 
Ramana Maharshi disait que "penser n'est pas la véritable nature de l'Homme".
En effet, une fois l'Ego et le Corps de Douleur identifiés, une fois le processus de pensée automatique dominé, il reste l'Être, le plus plein et le plus pur !
"Faire zazen, c'est couper la télévision..."

 

 
La Vie n'est que la confrontation continuelle dans la psyché d'un nombre réduit d'instances : l'instance-faim, l'instance-peur, l'instance-sexe, l'instance-civis et l'instance-transcendance.
L'instance-civis regroupe les tendances favorisant la raison conformiste et l'esprit grégaire.
L'instance-transcendance correspond au besoin de perfection et d'absolu ; elle favorise une perception non-ordinaire de son environnement.
Les finalités parfois contradictoires de ces différentes instances peuvent générer des conflits intérieurs.
Le fait d'être conscient de ces conflits potentiels permet de ne pas donner à l'une ou à l'autre de ces instances, la primauté et d'atteindre un certain équilibre.
L'inhibition abusive de l'instance-transcendance aboutit, comme pour les autres, au dépérissement de l'individu et à l'extinction de la Vie.

 
Nous sommes souvent comme ces éléphants retenus par une simple corde. Pourquoi ne se libèrent-ils pas ?

Tout est dans la tête.

Quand les éléphants sont encore bébés, on les attache à des poteaux avec de grosses chaînes en acier. Et pendant leur premiers mois, ils apprennent que, même avec tous les efforts du monde, ils ne pourront pas briser leur chaîne. Les dresseurs n'utilisent pas de cordes tant que les éléphants n'ont pas appris que la fuite était impossible. Ce ne sont pas les cordes qui empêchent les éléphants de s'enfuir, c'est leur esprit !
Si on pense qu'on peut faire quelque chose, même si cette chose paraît impossible, on y arrive souvent.
Et si on pense qu'on ne peut pas le faire, on n'y arrive jamais, parce qu'on n'essaie même pas...


Extrait d'Improbable d'Adam FAWER
 



Le commun des mortels est plutôt psychorigide.
Si votre ambition est de le lui montrer, racontez-lui la manière dont les indigènes attrapent les singes vivants :
- mettre des cacahuètes dans une calebasse trouée,
- le singe passe la main dans le trou pour s'emparer des cacahuètes,
- il lui est alors impossible de ressortir la main le poing fermé.
Le singe préférera rester piégé la main sur son petit magot plutôt que de le lâcher et d'avoir la vie sauve. Il en va souvent de même avec les psychorigides incapable de lâcher leur bouée idéologique pour d'autres paradigmes souvent plus libérateurs...
Les idéologies sectaires, religieuses ou politiques, constituent par exemple de très jolies calebasses !
Le dogmatisme d'une union rationaliste ou des doctes académies en est également un bon exemple...
Le compte-rendu de la réception du phonographe à l'Académie des sciences de Paris est impayable :
"Dès que la machine a émis quelques paroles, M. le secrétaire perpétuel se précipite sur l'imposteur et lui serre la gorge d'une poigne de fer.
Vous voyez bien ! dit-il à ses collègues. Or, à l'étonnement général, la machine continue à émettre des sons."

D'une façon générale, le fait de dire : "C'est impossible" dénote une certaine psychorigidité.



La médiocrité physique ou intellectuelle est le moteur de nombreuses révolutions populaires. Elle se caractérise par un complexe d'infériorité qui transforme classiquement les victimes en bourreaux dès que l'occasion leur en est donnée.
Le meilleur moyen d'éviter cela, pour vous-même ou votre entourage consiste à éliminer cette crasse par une soif d'apprendre, de comprendre et de partager. La principale difficulté à éviter devient alors de ne pas mépriser ceux qui se complaisent dans cette crasse sous prétexte de nivellement par le bas...
Il est souvent difficile de faire comprendre aux victimes qu'elles ne sont souvent victimes que d'elles-mêmes !
 
Être croyant n'est pas tous les jours facile. Si c'est votre cas, dites-vous :
"Il ne faut pas trop compter sur Dieu, mais peut-être que Dieu compte sur nous..."
   
 


 
Instincts, besoins, envies : il est important de distinguer ces 3 sources de motivation afin de les assumer sans scrupules et sans s'auto-illusionner.
Si l'on confond une de ses envies avec un besoin, c'est que l'on est devenu dépendant et que l'envie en question est devenue une drogue.

Comme l'a fait remarquer EINSTEIN la plupart de nos contemporains pourraient se contenter de leur moelle épinière. Rebelle à toute autorité, Albert considérait que pour marcher au pas ou en troupeau, le cerveau n'est pas indispensable !
A rapprocher de cette vérité : "On est homme au singulier, animal au pluriel".
Albert aurait également déclaré, à la fin de sa vie : "Si j'avais su, je me serais fait plombier". Une telle réaction correspond bien à la médiocrité de l'époque actuelle incapable de gérer ses richesses intellectuelles...
Pour info, Albert EINSTEIN, n'a jamais été un cancre, contrairement à la légende qui n'arrange que les vrais fainéants...

 

 

 

 

 

 

 

 
Les vertus thérapeutiques du rire sont nombreuses :
- augmentation de la sécrétion d'endorphines et de catécholamines, ces hormones luttant contre les rhumatismes,
- amélioration de la respiration, car l'air s'engouffre abondamment dans les poumons,
- le sang s'en trouve plus largement oxygéné, brûle donc mieux les graisses et les sucres, et réveille le cerveau,
- amélioration de la digestion par la stimulation de la sécrétion des sucs digestifs et de la salive,
- diminution de la constipation, de l'aérophagie et dégagement des voies biliaires,
- massage relaxant des muscles du visage, des abdominaux et des membres, libérant les tensions psychologiques et physiques,
- et donc amélioration de la qualité du sommeil !
Si vous avez besoin de trouver des prétextes pour rire, imaginez votre pire ennemi (ou votre chef) en train de faire pipi face au vent...
 
L'autoscopie est la capacité à prendre du recul et s'observer penser, voir, aimer, toucher, vivre, souffrir pour ensuite être capable de s'imaginer faire des choses réputées impossible pour le commun des mortels.
Attention de ne pas tomber pour autant dans la schizophrénie !
C'est comme se trouver sur la troisième rive du fleuve...
Il s'agit juste de se rendre compte que l'on n'est pas aussi stupide que tout le monde veut nous le faire croire.
 
 
 
André BRETON affirmait dans le second manifeste du Surréalisme :
"Tout porte à croire qu'il existe un certain point de l'esprit d'où la vie et la mort, le réel et l'imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l'incommunicable, le haut et le bas cessent d'être perçus contradictoirement."
C'est le Vril de JACOLLIOT, l'Aleph de BORGES ; c'est une évidence pour l'homme de demain !



 

 

 
Le fait de croire aux visites d'extra-terrestres correspond à l'illusion flatteuse qui veut que nous soyons intéressants à plus d'un titre ou utiles à quelque chose.
Elle remplace l'illusion superstitieuse qui consistait à croire que nous étions les esclaves des dieux...
 
La relation intime et privilégiée avec son ange gardien tend actuellement à remplacer la vénération soumise que les croyants avaient à l'égard de Dieu.
L'ange gardien, mieux que le saint patron, permet d'obtenir un secours individualisé, personnalisé, mieux adapté à l'égoïsme enfantin de l'adulte actuel.
Le rôle de père et mère "rien que pour soi", donne à l'ange gardien une dimension plus humaine et rassurante qu'un Dieu qui, bien qu'omnipotent et omniscient, semble débordé par ses ouailles.
D'un point de vue psychologique, le remerciement à son ange gardien pour les coups de main plus ou moins futiles apportés, provoque un sentiment de reconnaissance et de joie envers la vie en générale, ce qui ne peut que se révéler favorable dans le cadre d'une cure...
 

 
Beaucoup considèrent que dire "Merci" revient à s'abaisser.
Quelle erreur !
Dire "Merci" revient à dire à l'autre que l'on est heureux qu'il est fait quelque chose pour nous ; ceci est donc auto-valorisant et non dévalorisant comme le pensent nos contemporains mal élevés.
 
Sheldon classifie les êtres humains en trois types :
  • l'endomorphe est, d'une façon prédominante, mou et arrondi. Son corps est construit autour du tube digestif.

  • le mésomorphe est dur, avec un squelette puissant et bien musclé. Son corps est musculature.

  • l'ectomorphe est grêle, il a un petit squelette et des muscles faibles et peu marqués. Son système nerveux prédomine.


  • A chaque type correspond un tempérament :
  • L'endomorphe est viscérotonique et se caractérise par l'amour du confort, de manger, des cérémonies. Il a peur de la solitude et a donc besoin de compagnie, est aimable et aime sans discrimination.

  • Le mésomorphe est somatotonique et se caractérise par l'amour de l'activité, l'agressivité, le désir de puissance, l'indifférence à la douleur et aux susceptibilités d'autrui.

  • L'ectomorphe est cérébrotonique et se caractérise par une hyper vigilance et une hypersensibilité, se préoccupant plus de ce qui se passe derrière ses yeux que devant. Il aime la solitude, veut vivre et laisser vivre.


  • Pourquoi est-ce que je parle de ça alors qu'il est désormais politiquement incorrect de mettre les gens dans de petites boîtes ou de les étiqueter ? C'est parce que ces trois types d'êtres humains sont plus ou moins incompatibles si cette caractérisation est particulièrement marquée. Donc n'insistez pas pour les faire cohabiter... ou du moins comprenez que cela puisse générer des frictions...
     




    Si vous avez le malheur d'être riche et désœuvré, arrêtez de perdre votre temps - et accessoirement votre argent - à vous masturber devant vos bijoux vaniteux, vos gribouillages d'enfant que sont vos picassos et autres escroqueries intellectuelles et, tels les babouins hamadryas exhibant leur cul rutilant pour attirer la femelle, arrêtez de poser devant vos bagnoles hors de prix.
    Aidez plutôt les autres !
    Bien sûr, pas les assistés professionnels qui ont été éduqués à tendre la main et cracher dans la soupe, mais les réels nécessiteux qui n'ont pas eu votre chance et tente de s'en sortir dignement. Oubliez votre nombril ventripotent, donnez-leur un coup de pouce discrètement et gardez-le pour vous !
    Bonne conscience, impression d'être enfin utile à quelque chose et production d'endorphines assurées !
    Attention cependant au risque d'addiction, similaire à celui de la résolution de problèmes.




    Ce que l'on prend pour de la sagesse n'est souvent que de la fatigue...
     
    L'extra-lucidité correspond à un état dans lequel le cerveau est utilisé au maximum de ces capacités (sans les restrictions que sont nos filtres et préjugés, ou le pilotage automatique dans lequel on se trouve plus souvent qu'on ne croit). Dans ce mode, la vitesse de traitement des informations est largement décuplée grâce à un parallélisme similaire à celui des ordinateurs actuels. L'objectif est de penser plus vite comme le font les calculateurs prodiges (souvent déficients par ailleurs), les autistes ou les génies.
    Pour arriver à ce résultat, plusieurs méthodes sont disponibles :
    - l'ambidextérité qui oblige le cerveau à faire travailler et synchroniser ses deux hémisphères (ce qui est rarement le cas en temps normal),
    - la méditation sur la pancosmie (le Tout-Univers) afin de l'intégrer en soi,
    - la méditation sur la panchronie (le Tout-Temps) en vue de la dépasser,
    - la résolution du problème suivant : "Pourquoi Tout plutôt que Rien ?",
    - la prise de conscience de la futilité de ses croyances (toute opinion étant une restriction mentale),
    - le dépouillement de ses réflexes sociaux modernes pour mieux laisser ressortir ses anciens instincts.
    - la méditation sur un koan,
    Le défi consiste à ne pas paraître fou aux yeux de la majorité non-pensante. D'où l'intérêt de dominer également la psychomorphose.
     



    L'empathie correspond à la faculté de se mettre à la place de l'autre et de s'imprégner de ses états d'âme, au risque d'ailleurs de ne pouvoir sans défaire. Cette qualité peut être utile.
    Elle est également intéressante si l'on essaie de la mettre en pratique non plus avec un autre être humain mais avec d'autres animaux ou d'autres règnes : le minéral ou le végétal !
    La communication quasi-télépathique que l'on peut avoir avec un animal de compagnie correspond à une forme d'empathie. Une expérience amusante peut également consister à imaginer les perceptions d'un animal considéré a priori comme plus limité. Ainsi, se mettre à la place d'une fourmi déclenche une expérience étonnante où la perception de soi-même, des autres et du monde environnant est totalement transformée !
    L'accolade avec un arbre procure également une ouverture d'esprit vers d'autres formes de vie extrêmement profitable. Un échange est en effet également possible avec le deuxième règne.
    Enfin, le fait de prendre une pierre ou un cristal dans la main et de se projeter en lui permet également d'entrer en relation avec des forces jusqu'alors inconnues telles que le tellurisme intrinsèque à ce premier règne beaucoup plus ancien que le nôtre.
     
    A partir du moment où l'on accepte qu'il y ait des effets sans cause, la vie parait moins injuste...
    L'explication n'est souvent que superstition !

     

     

     

     
    Pour se sentir libre face aux contraintes de tous les jours, il suffit de savoir compter jusqu'à trois !
    En effet, le fait de ne voir qu'une solution (1) à un problème tient de la croyance limitative, signe d'une certaine psychorigidité.
    Être capable de se raisonner et de trouver une alternative (2) permet de s'offrir une porte de sortie, que l'on peut d'ailleurs ne pas prendre mais qui rassure. C'est à la portée de l'homme dit civilisé.
    Quand on est capable de trouver une troisième solution (3) imprévue et donc originale il y a de forte chance que le succès l'accompagne, en laissant les autres loin derrière.

     

     

     

     

     

     
    Les multiples futurs dans l'Arbre des Possibles sont accessibles si l'on s'immerge, tel un démon de Laplace, dans la connaissance totale que constitue l'Inconscient Collectif, somme des pensées et vécus d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
    Afin de vous assurer un avenir heureux, contactez l'un de vos Moi futurs sur l'une des branches de l'Arbre, celui qui correspond le plus à vos aspirations, et faites les mêmes choix que lui afin de parcourir la même branche.
    C'est ce qu'on appelle l'intuition...
    Et ne vous étonnez plus alors de ces impressions de déjà-vu...
     
    A quoi correspond donc cette fameuse formule
    "Soyez Ici et Maintenant..."
    ?
    Pour mieux la comprendre, installez-vous en tailleur, respirez en profondeur et livrez-vous à ce petit exercice de méditation.
    Tout d'abord...
        ... observez en détail ce qu'il y a en face de vous
    Puis...
        ... fermez les yeux et écoutez l'ambiance et les bruits
    Puis...
        ... humer les odeurs
    Puis...
        ... sentez le goût dans votre bouche
    Puis...
        ... ressentez votre "mécanique" intérieure et les sensations sur votre peau
    Puis...
        ... rouvrez les yeux.

    Vous êtes Ici et Maintenant !

    Emprunté à cette inépuisable source d'inspiration
    que sont les livres de Bernard WERBER
     

     

     

     

     
    Ceux qui sont revenus de tout ne sont souvent allés nulle part !
     
    La philosophie du Tao donne des pistes concernant la parfaite insertion dans le cycle de la Vie.
     


    La manipulation consiste à faire faire à l'Autre ce qu'il n'aurait pas fait si vous ne l'aviez souhaité.
    Avec un peu d'habitude, une technique, simple et efficace, consiste à flatter l'Autre de façon à le mettre en bonne position par rapport à vous. Se mettre en posture inférieure n'est pas habituel ; cela permet cependant à l'Autre de se sentir à l'aise, moins menacé et confiant en lui-même. Ayant relâché sa méfiance et donc baissé sa garde, il est à votre merci.
    D'autres techniques de manipulation s'appuient sur la théorie de l'engagement.
    Cette théorie repose sur la constatation que l'acceptation d'un comportement peu contraignant (ex : donner l'heure) engage le manipulé dans un sens qui lui fera faire des choses, favorables au manipulateur, qu'il n'aurait pas faites sans le comportement initial (ex : donner "10 balles").
    Généralement, le manipulé ne se sent pas forcé par la première requête et l'accepte spontanément.
    S'étant engagé une première fois, il refuse rarement la deuxième, même si elle est beaucoup plus contraignante.
    L'escalade d'engagement correspond donc à une persévération de décision.
    Tout le monde n'étant pas forcément pourvu de pouvoir et/ou de séduction, ces techniques peuvent s'avérer être de bons substituts.



    Pourquoi ne plus avoir d'espoir ?
    Pour être toujours agréablement surpris...

    Comment n'avoir ni regrets, ni remords ?
    Il suffit de respecter celui que l'on était lorsque l'on a pris la décision considérée maintenant comme problématique...

    Une autre façon de n'avoir jamais de regrets est de savourer chaque instant !
     
    Il existe 2 formes de mystiques : celle fondée sur la superstition et celle basée sur la connaissance scientifique. L'époque actuelle (2000 post JC) correspond à un basculement de la première vers la seconde.
    Rappel : le réflexe mystique n'a rien à voir avec un quelconque intégrisme ou fanatisme ; il ne s'agit que d'être humble malgré l'écartèlement entre plusieurs infinis (espace + temps).
    Pour changer un peu, voici 11 COMMANDEMENTS qui peuvent apporter beaucoup de joie et de sérénité :

    Tu n'aideras point
    Tu ne plaindras point
    Tu n'admireras point
    Tu n'encourageras point
    Tu ne conseilleras point
    Tu ne pardonneras point
    Tu n'écouteras point
    Tu n'épargneras point
    Tu ne regretteras point
    Tu n'idolâtreras point
    Tu n'attendras rien de ton prochain

    Attention ! Ne vous vantez pas de les suivre...
    Souvenez-vous cependant que, statistiquement, l'altruisme reste quand même l'attitude la plus rentable...



    La Réalisation du Soi consiste à comprendre que le cerveau n'est qu'un intermédiaire entre une entité psychique et une entité matérielle et qu'il est possible d'établir un contact avec cette entité psychique en partant du principe que :
    - les OBJETS et les EVENEMENTS sont des composants d'un ensemble qui fait partie d'un ensemble encore plus grand, et ainsi de suite. Objets et événements individuels existent mais leur individualité est d'une importance secondaire.
    - les EVENEMENTS ne sont ni bons ni mauvais. Tout fait partie de l'ensemble harmonieux de l'univers, sur un plan supérieur à toute appréciation.
    - les SENS donnent des informations illusoires et partielles. La connaissance vraie est acquise au cours de l'expérience directe.
    - le TEMPS est une unité dont la division est illusoire. La durée existe, mais au sens d'un "présent éternel".
    - la CONNAISSANCE provient de l'intégration au dessein et non du désir d'obtenir une information spécifique. Ni le temps ni l'espace n'empêchent l'échange d'énergie ou d'information entre deux sujets individuels, car les différences de temps et d'espace sont illusoires.




     
    Réussir sa vie (exercice) : Réussir sa vie consiste à quitter la place de figurant dans un film dont le scénario a été écrit par d'autres (parents, professeurs) pour prendre la place d'un véritable acteur avec un véritable personnage.
    L'initiation consiste ensuite à devenir metteur en scène de sa vie puis à se rendre compte que notre Être essentiel n'est ni plus ni moins que le Réalisateur !
     
    Stanislas GROF décrit la perception élargie comme la capacité à voir les choses telles qu'elles sont, libres des influences déformantes du désir, de l'aversion, de l'ignorance et de la peur.
    Concernant la personnalité, il convient de la considérer comme un sous-système du Soi transpersonnel. Se placer au niveau du Soi transpersonnel permet d'adopter une position de témoin, notamment face à nos drames personnels, et d'atténuer la souffrance.

    Henri BERGSON voyait dans le cerveau un mécanisme réducteur, conçu pour permettre à l'organisme de porter une attention sélective à des stimuli donnés, afin d'agir de façon appropriée.
    Les prémices du raisonnement sont que si le cerveau n'agissait pas comme un filtre, on serait assailli par tant de visions et de sons qu'aucune décision d'action ne serait possible.
    Sachant cela, pourquoi ne pas chercher à suspendre temporairement ce système de filtrage afin d'obtenir une perception plus intense de la réalité ? A l'instar des grands mystiques qui nous ont précédés...
       
    Se réfugier au sein de la masse en suivant bêtement les préceptes d'apôtres collectivistes constitue l'aliénation ultime.
    La formule affirmant que "le Tout est plus que la somme des parties" n'est qu'un doux fantasme de kibboutzim.
    Appliqué à un groupe d'être humain, elle n'est valable que jusqu'à 5 personnes. Au-delà, la responsabilité est tellement diluée que toute efficacité disparaît rapidement.
    Par ailleurs, la plupart de nos décisions et de nos actes, a priori volontaires, ne sont en fait que le fruit de réflexes physico-chimiques pour lesquels notre conscience n'intervient quasiment pas.
    Notre conscience n'est qu'un dispositif de contrôle appelé à la rescousse en cas de dilemme.
    Selon la loi du moindre effort, ou ignorance rationnelle, énergétiquement plus économique, il est normal de préférer être un mouton au milieu du troupeau et de se laisser porter sans réfléchir ou chercher à comprendre...
    L'éclosion de l'individualité au sein de la masse végétative est l'objectif suprême de la psychomaturgie.
     
    L'ésotérisme d'aujourd'hui n'est plus basé sur le secret ; il est exposé au vu et au su de tout le monde, fondu dans la masse. Comprenne et apprenne qui voudra...
    Attention ! Dans un monde sans qualité, tel que celui que l'on peut observer sur Terre à l'époque actuelle (~2500 après Lao Tseu),
    l'homme serein passe pour un égoïste,
    l'homme libre d'esprit pour un cynique,
    l'homme qui se respecte pour un arrogant...

    Mais, tant pis, continuons !
     
     
    Le vrai philosophe dit : "Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose"
    Pourquoi l'engagement semble-t-il d'une futilité folle au psychomaturgiste ?
    Henri MILLER l'a très bien expliqué :
    "...Je vois trop que les maux que nous souhaitons déraciner en combattant pour une cause sont dans nos propres personnalités. L'ennemi est beaucoup plus intérieur qu'extérieur. En d'autres termes, les faiseurs de bien, les grands leaders, m'inquiètent beaucoup plus que les gens mauvais. Tant de ces types, qui veulent refaire le monde à leur image, sont indifférents à la condition de leurs plus proches voisins ! Chacun de nous, s'il désirait vraiment aider, pourrait consacrer tout simplement sa vie à prendre soin de ses proches..."


    Manipulation (exercice) : Pour faire entrer un âne dans l'étable, il faut le tirer vers l'extérieur.
     
    Selon Lawrence KOHLBERG, l'individu s'achemine vers l'autonomie personnelle et morale à travers des stades de développement successifs.
    L'individu, passant d'une structure à l'autre, devient mieux outillé pour résoudre les problèmes de la réalité quotidienne.
    Les stades sont aux nombres de 8 :
    - Inorganisé : Non différenciation du réel.
    - Punition/Récompense : L'individu est soumis à l'autorité. La loi du plus fort, loi de la jungle. Obéissance et punition : l'enfant s'incline devant la position hiérarchique et le pouvoir des parents.
    - Donnant/Donnant : Égocentrisme. Loi du Talion. Effort pour un résultat : l'enfant s'incline devant une loi ou rend un service seulement s'il a l'impression qu'il en retirera un bénéfice en retour. Les relations sont considérées comme les relations strictement commerciales.
    - Bonne concordance interpersonnelle : Stade du bon petit garçon et de la gentille petite fille; début de l'empathie. L'enfant recherche l'approbation d'autrui et se conforme pour plaire. La bonne action est ici celle qui plaît, celle qui aide les autres ou celle que les autres approuvent. Il y a, à ce stade, une forte conformité aux images stéréotypées de comportement de la majorité ou du comportement identifié comme naturel. De plus, l'action est fréquemment jugée selon les intentions qui la sous-tendent. Pour la première fois, le "il a voulu bien faire" devient important. On cherche ici à gagner l'approbation des autres en étant gentil.
    - Loi et ordre : Pensée abstraite et concept sociétal; prédominance du sens du devoir; normatif. Adhésion à des règles pour maintenir l'ordre social de sa communauté. On retrouve ici une disposition à soutenir l'autorité, les règles définies et l'ordre social. L'action bonne est celle qui consiste à accomplir son devoir, à être déférent envers l'autorité, et à maintenir l'ordre établi.
    - Contrat social : Démocratique-contractuel. Stade de la négociation individuelle et sociale; hiérarchisation des valeurs. La justice découle d'un contrat entre dirigeants et dirigés qui assure à tous des droits égaux. A ce stade, l'action droite est définie surtout en termes de droits individuels ou selon des critères examinés de façon critique et admis par l'ensemble d'une société. On reconnaît à ce stade le relatif des opinions personnelles ; l'accent est souvent mis sur les règles de procédures capables de favoriser un consensus véritable. Sauf pour ce qui est constitutionnellement et démocratiquement admis, le "bien" relève des valeurs personnelles. Les ententes libres et les contrats honnêtes constituent la substance de l'obligation morale.
    - Justice et principes éthiques : Stade de l'empathie parfaite fondée sur l'interpersonnalité et les principes de la dignité humaine. L'individu se comporte selon des principes éthiques qui sont à la fois logiques, universels et cohérents, i.e. qui lui paraissent devoir s'appliquer quelle que soit sa situation personnelle dans la société. Le bien est ici défini selon la décision de la conscience individuelle éclairée, appliquant à une situation concrète des principes éthiques. Ces principes seront choisis en fonction de leur pertinence, cohérence, globalité et universalité.
    - Mystique : Pensée cosmique et méta-éthique.

    Vous vous situez où ?
    Personnellement, ça dépend des heures...
     


    La mise en pratique des techniques psychomaturgiques a un écueil : l'homme fort ne peut être aimé par une femme ; les femmes n'aiment vraiment que les faibles et les enfants.
    Elles n'ont plus leur motivation aimante inconsciente face à un homme sur lequel elles n'ont plus prise. Idem pour la société en général. Gardez-vous donc une ou deux faiblesses pour avoir du charme...
    À ce constat un peu sexiste s'ajoute le fait que, d'une façon générale, quand un homme ou une femme en sait plus que les autres, il ou elle devient solitaire.
     
    Manipulation (exercice) :
    Le doute, la douleur ou la peur peuvent être combattus avec la même arme : le sourire.
    Il est a noté que certains vont même jusqu'à considérer que le sourire constitue à lui seul une thérapie.
    A essayer donc !



    "L'enfant est obligé d'endurer une période d'impotence et de dépendance plus longue que les jeunes de n'importe quelle autre espèce. Il est permis de se demander si cette expérience initiale de complète dépendance n'est pas responsable, au moins partiellement, de la tendance de notre espèce à obéir, à se soumettre à l'autorité imposée par des individus ou des groupes, et de sa suggestibilité aux doctrines et aux symboles. En somme, si j'ose dire, le lavage de cerveau commence au berceau."
    Arthur KOESTLER

     

     

     

     

     

     
    Qui méprise se surestime ; qui admire se sous-estime.
     
    L'homme de demain n'invoquera pas les esprits ; il sera esprit lui-même !
     

     

     

     
    La méditation contemplative permettant d'atteindre une plénitude absolue implique les 3 principes suivants :
    - adopter une attitude corporelle où l'énergie primordiale est reçue, augmentée, conservée
    - mettre l'esprit dans un état de disponibilité totale, en le vidant de toute pensée parasite
    - s'identifier avec l'Absolu, jusqu'à ce que s'abolisse la distinction entre le sujet et l'objet

     
    Manipulation (exercice) : Aimez vos ennemis, ne serait-ce que pour leur porter sur les nerfs.






    Le passage inter-dimensionnel, à travers la toile de l'illusion, est possible en synchronisant les battements de son cœur (ou ses hémisphères cérébraux) à 8 Hz.
    Théorie empruntée à Bernard WERBER...
     
    Agressivité et sourire sont deux remèdes au trac.
     


     
    La démarche pour arriver à l'éveil mystique est, théoriquement, simple :
    - se concentrer sur un objet
    - se concentrer sur rien (~page blanche)
    - se concentrer sur le Soi omniscient, omnipotent, omniprésent...
    YAPLUKA !


     
    Les présupposés fort pertinents de la PNL sont les suivants :
    Ce n'est pas la réalité qui est limitée, mais les choix que nous percevons comme disponibles à travers notre concept du monde. Notre représentation du monde détermine quelle sera notre expérience de la vie, comment nous percevons les choses et quelles sont les possibilités à notre disposition.
    Chaque personne possède ou peut acquérir les ressources dont elle a besoin pour obtenir les changements qu'elle désire ou atteindre ses objectifs. Un changement est produit en activant la ressource appropriée dans un contexte particulier et en enrichissant sa carte du monde. Parmi nos ressources, l'une des plus fondamentales est la capacité d'apprendre, donc de progresser. S'il est possible pour une personne d'apprendre ou d'acquérir une capacité ou un comportement, tout le monde à cette possibilité...


    Il est assez facile de se projeter en arrière, à l'époque de nos supposés ancêtres "sauvages" et "arriérés", d'imaginer leur vécu et de ressentir leurs peurs ou leurs espoirs.
    Pourquoi ne pas essayer de se projeter vers l'avenir et de ressentir ce que sera l'homme d'après-demain qui devrait être, par rapport à nous, ce que nous sommes par rapport à l'homme préhistorique ?

    Objectif de cet exercice : penser plus haut que sa tête !!!

    NB1 : Cet exercice ne présuppose pas un quelconque progrès éthique ou intellectuel au cours du temps
    NB2 : Il faut garder à l'esprit que seule la thèse officielle suppose un progrès entre l'homme d'avant-hier et l'homme d'aujourd'hui : l'actualité tend à relativiser énormément ce point de vue
    NB3 : On posera donc comme hypothèse de travail que l'homme existera encore après-demain
     
    Faites vous accepter par ce que vous êtes et non pour ce que vous faites.
    Cela vous épargnera toute forme de névrose...
    Il est impossible de connaître l'Amour Universel, illimité,
    tant que l'on a pas été aimé
    tant que l'on a pas aimé,
    tant que l'on ne s'aime pas...



    Ordinairement, nos pensées vagabondent en tous sens. Nous oublions ce que nous sommes en train de faire pour songer aux événements de la veille ou aux projets du lendemain. L'illumination - Samadhi - consiste à être concentré sur l'action présente et à être maître de son âme.
    Elle peut être atteinte en 3 étapes :
    - la première est le "Samadhi sans image" : il faut visualiser son esprit comme un ciel sans nuages. Les nuages, qu'ils soient noirs, gris ou or, sont nos pensées qui troublent le ciel. On les chasse une par une au fur et à mesure qu'elles apparaissent, jusqu'à avoir un ciel clair.
    - La deuxième étape est le "Samadhi sans direction" : c'est un état dans lequel il n'y a pas de chemin particulier vers lequel on souhaite aller, on a aucune préférence dans aucun domaine. On se visualise comme une sphère posée sur un sol plat qui malgré sa forme et sa fonction ne roule nulle part.
    - Enfin la troisième étape est le "Samadhi de la vacuité" : c'est une expérience dans laquelle on perçoit tout pareil. Il n'y a ni bien ni mal, pas de choses agréables ou déplaisantes, ni passé, ni futur, pas de choses proches ou lointaines. Tout est égal. Et comme tout est similaire, il n'y a aucune raison d'adopter une attitude différente envers quoi que ce soit.

    C'est alors que l'on accède à sa vraie nature, celle qui n'a peur de rien et qui sait tout !...




    Expérience de McClelland

    Cette expérience permet de déterminer dans un groupe d'enfants les futurs gagneurs.
    Consigne : un pieu dans le sol et des anneaux confiés aux enfants ; les enfants se placent où ils le veulent avec pour objectif de lancer l'anneau autour du pieu.
    Les futurs gagneurs ne se placeront inconsciemment ni trop près, ni trop loin du pieu.
    Ceux qui se placent trop près sont et seront toujours des peureux. Le gagneur veut être fier de sa performance et ne se placera pas trop près.
    Ceux qui se placent trop loin sont et seront toujours des superstitieux, peu motivés et comptant sur la chance, c'est à dire le hasard.
    Le gagneur préfère prendre des risques modérés - la tâche trop facile ne lui apportant aucune satisfaction personnelle - et se fixe des buts potentiellement accessibles - l'habileté personnelle étant plus payante qu'une chance aléatoire.
    C'est l'indice d'un goût pour la réussite ou l'excellence.
    Attention, ceci est politiquement incorrect dans la mesure où cela laisserait penser que, déjà très tôt, nous ne sommes pas égaux devant l'Éternel...
     
    Comment vivre heureux ?
    Facile !
    Respectez ces 5 règles :
    • Libérez votre cœur de la haine
    • Libérez votre esprit des inquiétudes
    • Vivez simplement
    • Donnez plus
    • Attendez moins

     

     
    Pour juger de l'humanité de quelqu'un, pas besoin de tests psychométriques compliqués ; demandez-lui juste s'il aime les chats...

     

     
    Comment avoir une discussion sereine et positive par les gestes et postures ? Optez pour ces gestes plutôt "féminins" :
  • serrer la main, paume vers le haut
  • parler avec les paumes ouvertes vers le haut
  • sourire souvent
  • poser votre main sur le coude de l'autre 2 secondes
  • poser votre menton sur vos mains
  • regarder l'autre dans les yeux
  • reproduire les expressions du visage et les positions de l'autre
  • tomber la veste

  • Si vous souhaitez au contraire donner une apparence dominatrice :
  • serrer la main, paume vers le bas
  • parler avec les paumes orientées vers le bas
  • poser vos bras sur les accoudoirs
  • garder les doigts serrés si vous parlez avec les mains
  • si vous croisez les bras, garder les pouces en l'air et visibles
  • coudes sur la table, main en triangle vers le haut
  • debout, mains jointes derrière le dos
  • regarder l'autre au niveau de son "3ème œil"
  • bras en l'air, mains croisées derrière la tête, jambes croisées en forme de 4
  • rester debout alors que l'autre est assis
  • ne pas rester assis si l'autre est debout
  • autour d'une table, placer l'"adversaire" dos à la porte
  • se positionner en bout de table, dos à la fenêtre
  • si vous n'êtes pas le patron, mettez-vous à sa droite



  • Le rituel du globe bleu

    Assieds-toi confortablement et détends-toi. Essaie de ne penser à rien. Sens comme il est bon d’aimer la vie. Laisse ton cœur libre, ami, au-dessus et au-delà de la mesquinerie des problèmes. Entonne une chanson d’enfance à voix basse. Imagine ton cœur qui grandit, emplit ta chambre puis ta maison d’une lumière bleue, intense, brillante.
    Quand tu arrives à ce point, ressens la présence amicale des saints en qui tu avais foi lorsque tu étais enfant. Assure-toi qu’ils sont là, qu’ils affluent de toutes parts, souriants, et t’apportent la foi et la confiance en la vie. Représente-toi, les saints qui approchent, place les mains sur la tête, et désire pour toi amour, paix et communion avec le monde. La communion des saints.
    Lorsque cette impression est intense, sens comme la lumière bleue est un flux qui entre en toi et en sort, telle une rivière brillante, en mouvement. Cette lumière se répand dans ta maison, puis dans ton quartier, ta ville, ton pays, et enveloppe le monde entier dans un immense Globe bleu. Elle est la manifestation de l’Amour supérieur, qui est au-delà des batailles du quotidien, mais qui te renforce et te donne vigueur, énergie et paix. Conserve le plus longtemps possible cette lumière qui irradie de par le monde. Ton cœur est ouvert, répandant l’amour. Cette phase de l’exercice doit durer au moins cinq minutes. Peu à peu, sors de la transe et reviens à la réalité. Les saints resteront tout près de toi. La lumière bleue sera toujours présente. Ce rituel peut et doit être réalisé avec plusieurs personnes. Dans ce cas, les participants doivent se tenir par la main.
    Cet exercice sert à réveiller l’enthousiasme, à créer la force qui s’étendra comme une boule bleue autour de la planète.

    Extrait de "Le Pèlerin de Compostelle" de Paulo Coelho
    Ne sachant que c'était impossible, il le fit...
    Il existe trois formes d'Amour : Éros, Philos et Agapè.

    Éros, c'est l'attirance physique.
    Philos, c'est le partage intellectuel.
    Agapè, c'est l'enthousiasme pour la Vie.

    Bien souvent, le commun des mortels confond les trois, se complaît fugitivement dans le premier, ignore le deuxième et oublie le troisième, Agapè, qui l'envahissait étant enfant... Dommage !


     
    Puisqu'on sait que, dans la vie, on est nécessairement frustré, mieux vaut baisser son niveau d'exigence et apprendre à regarder davantage le verre à moitié plein.
    Conséquence : "Plus on remarque ce qui va bien, plus ce qui va bien se déploie dans notre existence !"
     
    Face à un "ennemi", il faut analyser sa peur et la nôtre. Si notre survie n'est pas menacée, il y a fort à parier qu'ignorer la chose, ou pardonner (pour les plus saints d'entre nous), est la solution à ce qui n'est finalement pas un problème : on s'apercevra probablement que ce qu'on reprochait à cet "ennemi" pourrait nous être ou nous avoir été reproché. Ayant admis ça, notre peur s'évanouira d'elle-même...

     

     
    Le "méchant" seul mérite notre considération !
    Ce point de vue, politiquement incorrect, voire immoral, s'appuie sur le fait que les "méchants" sont souvent les plus forts.
    Il faut rester avec les plus forts ; il faut être ami avec eux.
    Les victimes sont faibles et n'ont aucun intérêt. Elles ne peuvent ni vous faire du mal, ni vous faire du bien. Elles se plaignent et ne sont pas sympathiques.
    Le soutien aux méchants est la seule voie efficace même si elle n'est pas morale. Le tout est de bien enrober la chose...
     
    Le psychanalyste Eric BERN met au point l'Analyse Transactionnelle en 1960.
    Selon son analyse, l'individu adopte un rôle de façon instinctive parmi 3 catégories : Parent, Enfant ou Adulte.
    Dès qu'un individu parle à un autre individu, il "fait" le parent, il "fait" l'enfant ou il "fait" l'adulte.
    Dans un rapport parent/enfant, le parent peut être "nourricier" ou "paternel" et l'enfant peut être "rebelle", "soumis" ou "libre".

    Une catégorisation "parallèle" propose également de classer son positionnement lors d'une interaction dans un de ces 3 rôles : le persécuteur, la victime et le sauveur.
    La plupart des conflits humains se ramènent à des jeux de pouvoir dans la relation !
    Des phrases comme "Il faudrait que tu..." ou "Tu aurais dû..." vont situer celui qui les prononce en position de dominant (= parent).
    Des phrases comme "Je m'excuse" ou "Je regrette" vont au contraire positionner celui qui les prononce en position de dominé (= enfant).
    La seule manière saine d'établir un rapport aux autres qui n'entraîne pas de lutte psychologique reste de parler à l'autre d'adulte à adulte, en l'appelant par son nom, sans le culpabiliser ni l'encenser, sans jouer l'enfant irresponsable ou le parent moralisateur...

     

     
    Et enfin,
    le secret des secrets
    permettant de surpasser l'homme d'hier pour devenir l'homme de demain :

    Remplacer la pensée par le ressenti.



    C'est tout...

     


    Si les rats avaient pu mettre en commun les observations qu'ils ont faites sur l'homme dans les laboratoires, cela aurait pu donner cette page !...

    Remarques

    Les énoncés ci-dessus correspondent à des réflexions qui m'ont "parlé", c'est à dire que j'ai :
    - soit éprouvé ou ressenti leur pertinence
    - soit expérimenté leur réalité
    - soit jugé qu'elles méritaient qu'on s'y arrête pour les approfondir
    Cette page est destinée à ne pas donner raison aux mauvaises langues qui tendraient à affirmer que le singe descendra de l'homme !
    Un seul objectif : s'affranchir de l'esclavage mental à l'heure où la plupart se croient affranchis de l'esclavage physique.
    C'est pour cela que s'y côtoient des théories de bon sens et des thèses aujourd'hui non prouvées !
    Mes sources sont la vie, les livres, la toile...
    Les tendances schizoïdes de l'auteur n'auront échappé à personne !
    Si, à la suite de cette rencontre, vous vous détachiez de la masse, alors... Bienvenue !

    Dernière chose : ne vous contentez pas de ces idées et concepts jetés en vrac. Approfondissez-les avec vos propres recherches. Et elles ne remplacent pas un accompagnement par un vrai professionnel si besoin !...


    Bibliographie hautement subjective, partiale, non exhaustive donc incomplète

    "Essais sur l'expérience libératrice", R.GODEL
    "Le pouvoir du moment présent", E.TOLLE
    "Le Médecin de l'Âme", M.FORHAN
    "Dzogchen", le XIVe Dalaï Lama
    "Ma vie", Carl G.JUNG
    "La connaissance transcendante", Alexandra DAVID-NÉEL & Lama YONGDEN
    "La lampe de sagesse", Alexandra DAVID-NÉEL
    "L'esprit guide", Karlfried von DURCKHEIM
    "Le Secret de la Fleur d'Or", Lu TSOU
    "Le Principe du Phénix", René CAYA & Henriette MONTCALM
    "Flatland", Edwin A. ABBOTT
    "Le Loup des Steppes", Hermann HESSE
    "La révolution du cerveau", Marylin FERGUSON
    "L'art de manipuler", Pierre RAYNAUD
    "La Réalité de la Réalité", Paul WATZLAWICK
    "Le matin des magiciens", Louis PAUWELS, Jacques BERGIER
    l'oeuvre de Louis PAUWELS en général
    "La Philosophie éternelle", Aldous HUXLEY
    Les bouquins d'hier et de demain de Bernard WERBER
    ...



    N'hésitez pas à me faire part de vos remarques...
    janus@free.fr
    Maison

    Créée le 29/07/1999