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Le mental se sert de vous et vous vous êtes inconsciemment identifié à lui. Par conséquent, vous ne savez même pas que vous êtes son esclave. C'est un peu comme si vous étiez possédé sans le savoir et que vous preniez l'entité qui vous possède pour vous-même. La liberté commence quand vous prenez conscience que vous n'êtes pas cette entité, c'est-à-dire le penseur. En sachant cela, vous pouvez alors surveiller cette entité. Dès l'instant où vous vous mettez à observer le penseur, un niveau plus élevé de conscience est activé et vous comprenez petit à petit qu'il existe un immense royaume d'intelligence au-delà de la pensée et que celle-ci ne constitue qu'un infime aspect de cette intelligence. Vous réalisez aussi que toutes les choses vraiment importantes – la beauté, l'amour, la créativité, la joie, la paix – trouvent leur source au-delà du mental. Et vous commencez alors à vous éveiller. Extrait de "Le pouvoir du moment présent" d'Eckhart Tolle |
Très court résumé de la philosophie de Marcel FORHAN, philosophie qui nous explique pourquoi et comment devenir la meilleure version de soi : Chaque parole, chaque pensée, chaque désir, chaque action produit des effets. Plus nous comprenons que nous sommes les victimes ou les bénéficiaires de nos productions mentales et plus nous nous donnons une chance de transformer nos vies et d'améliorer notre bien-être et, par ricochet, celui de nos proches. Souffrances, injustices, guerres et autres horreurs nombreuses et variées sont dues à l'égoïsme généralisé et au nourrissage de nos peurs. En décidant de ne pas participer aux injustices sociales et morales, en agissant dans l'intérêt général, non seulement nous nous élevons nous-mêmes spirituellement, mais nous participons aussi à l'éveil et à l'évolution de l'humanité. |
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Avez-vous déjà essayé le comportement non complémentaire ? Il s'agit d'une pratique qui consiste à faire exactement le contraire de ce que fait votre contradicteur en cas de conflit : si une personne est agressive vis-à-vis d'une autre, adopter un comportement chaleureux peut désamorcer la situation. L'exemple extrême (bien connu) est de tendre l'autre joue. Moins extrême, le simple fait de reconnaître ses erreurs et de s'excuser, au lieu de camper sur ses positions, peut faire avancer les choses... Bon, là, on est dans l'honnêteté intellectuelle... |
On connaît l'effet Pygmalion qui se manifeste lorsque le simple fait de montrer à quelqu’un que l’on croit en ses chances de réussir influence positivement ses performances, en particulier si on est en position d’autorité par rapport à cette personne. On connaît moins son contraire, l’effet Golem, qui survient lorsqu’une personne en position d’autorité juge les capacités de réussir d’un individu limitées ; ce dernier performe alors moins bien qu'il aurait pu en situation normale. En psychologie sociale, ces deux effets s'appuient sur le phénomène de prophétie autoréalisatrice, qui se manifeste lorsqu’une croyance erronée entraîne sa propre réalisation. |
"La solution aux préjugés est le contact. La distance est complice du mal." "Qui sème le bien récolte le bien. Faire un acte de bonté est contagieux." Rutger Bregman, Humanité |
En thérapie comportementale rationnelle émotive, l'idée est de montrer que nos émotions dépendent de nos croyances et de notre manière d'interpréter les faits. Pour résumer, un fait Activateur (A) va déclencher une émotion C (comme Conséquence ou Comportement) qui peut varier en fonction de nos croyances B (comme Beliefs). A => B => C ou encore, pour les mathématiciens, C = A x f(B) Chacun aura une réaction différente face à une situation en fonction de son vécu. Les traumas du passé laissent des empreintes et ces empreintes sont réactivées par certaines situations. Nous y réagissons de différentes manières en fonction de nos croyances et préjugés, souvent irrationnels ou dépréciatifs, vis à vis de nous-mêmes ou des autres. Ce n'est pas le fait lui-même mais notre manière d'interpréter celui-ci qui détermine notre réponse émotionnelle.Un même A, en fonction de B, donnera des C différents... Ne pouvant changer les faits (A), Albert Ellis, qui est à l'origine de cette forme de thérapie, propose de travailler avec le patient pour essayer de prendre conscience et changer - déconstruire - certaines des interprétations qu'il fait (B) et qui l'amènent à avoir les comportements dont il souffre (C). L'objectif est d'offrir au patient des alternatives à ses croyances irrationnelles, d'arriver à tolérer sa frustration et d'accepter que l'on ne peut changer le monde mais qu'on peut changer sa vision du monde et sa philosophie personnelle. Mais rien de nouveau sous le soleil :
Comme Marc-Aurèle l'a très bien dit : "Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l'être, mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre." Et Epictete : "Ce ne sont pas les choses qui troublent les hommes, mais l'opinion qu'ils en ont." Et enfin : "Rien n'est bon ni mauvais en soi, tout dépend de ce que l'on en pense." Hamlet, II, 2 (1601) de William Shakespeare Dans le même ordre d'idée, il est bon de s'intéresser aux biais cognitifs
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Nous avons 5 sens physiques (vue, ouïe, toucher, odorat et goût), voire plus si l'on inclut la proprioception, l'intuition, l'empathie ou tout simplement le sens de l'équilibre. Chacun de ces sens a un spectre (positionnement et étendue dans la gamme des perceptions) spécifique, différent pour chaque espèce animale, voire pour chaque être au sein d'une même espèce. Ainsi, l'ensemble des sens perçoit la mer d'énergie qui nous entoure à partir d'un certain point de vue limité et se fabrique une représentation de la réalité on ne peut plus partielle et partiale, ni complète ni précise. À cela s'ajoute l'interprétation que nous autres, êtres humains, y ajoutons à partir de notre expérience passée, de nos souvenirs (réels ou fabriqués), de nos traumatismes, de nos besoins, de nos désirs, de nos peurs : les fameuses œillères et autres "lunettes roses". C'est ce que certains ont appelé notre "mappemonde interne"... Ce qu'il faut savoir, c'est que rien n'empêche de retravailler cette mappemonde en réorientant notre petit bout de la lorgnette ou notre prisme ! Le lien avec la thérapie comportementale rationnelle émotive évoquée juste avant n'aura pas échappé au lecteur attentif... |
Un des aspects du mimétisme social à connaître absolument réside dans le fait que nous finissons par ressembler à la moyenne des cinq personnes avec lesquelles nous passons le plus de temps. Les individus que vous côtoyez le plus peuvent être le principal facteur conditionnant votre qualité de vie et la personne que vous devenez. Si vous êtes entouré de personnes paresseuses, faibles d'esprit et qui se cherchent sans cesse des excuses, vous finirez sans doute par leur ressembler. Passez du temps avec des personnes brillantes et positives, et leurs attitudes et habitudes pertinentes déteindront sur vous. Vous leur ressemblerez de plus en plus. [extrait de Miracle Morning] |
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"Beaucoup se sont libérés de la souffrance et ont atteint la perfection en faisant des sensations un simple objet d'observation. La sensation, plus qu'aucun des autres agrégats, risque de servir de base à notre attachement pour la simple raison qu'elle est le but premier de toute notre agitation et de toutes nos actions. Nous étudions avec sérieux et travaillons pour gagner de l'argent avec lequel nous achetons toutes sortes de choses : ustensiles, nourriture, amusements, depuis la gastronomie jusqu'au sexe. Nous profitons de ces choses dans un unique objectif : le plaisir des sens, autrement dit la stimulation agréable de nos yeux, nos oreilles, notre nez, notre palais et notre corps. Nous investissons toutes nos ressources financières, physiques et mentales dans l'unique perspective de sensations agréables. D'ailleurs, chacun sait, au fond de lui, que jamais il n'investirait tant d'études, de travail et d'énergie s'il n'espérait en retirer un profit sous forme de sensations agréables. Il est donc bien évident qu'il s'agit là d'un point crucial. Connaître et comprendre l'importance des sensations nous permet d'en garder le contrôle, nous élève au-dessus d'elles, et nous donne la possibilité d'accomplir nos tâches bien plus efficacement. De la même manière, les problèmes sociaux ont leur origine dans la sensation de plaisir et, lorsqu'on analyse de près les heurts entre nations ou entre blocs opposés, on découvre, là aussi, que les deux côtés sont esclaves de la sensation de plaisir. Les guerres ne naissent pas de la foi en une doctrine, un idéal ou quoi que ce soit, mais de l'anticipation du plaisir sensoriel. De chaque côté, on s'imagine accumulant toutes sortes de gains et de richesses. La doctrine n'est que le camouflage ou, au mieux, une motivation secondaire. La cause la plus profondément ancrée de tout conflit est, en réalité, la soumission au plaisir de la sensation. Connaître la sensation, c'est donc être conscient d'une cause essentielle de notre esclavage aux pollutions de l'esprit, au mal et à la souffrance." Extrait de "Manuel pour l'Humanité" de Buddhadasa Bhikkhu |
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Comme vu supra avec Albert Ellis, nos croyances créent des biais cognitifs à travers lesquels nous passons l'environnement au crible et nous l'interprétons. Il est alors facile de trouver des preuves qui correspondent à ce que nous croyons être vrai... Le biais d'ancrage : consiste à ne retenir qu'une seule information pour juger d'une situation donnée. Le biais de représentativité : nous fait juger une personne en nous fondant sur quelques informations que nous considérons comme représentatives de cette personne. Le biais d'interprétation : lorsque vous avez peur d'une situation inconnue et que vous imaginez le pire, vous êtes sujet aux biais cognitifs d'interprétation, dont notamment la dramatisation ou biais négatif d'interprétation. Cela aboutit souvent à l'étiquetage d'une personne ou d'un groupe et aux préjugés. Le biais du besoin de reconnaissance : il est à la source du trac. En effet, la peur d'être jugé suppose le besoin d'être apprécié, d'être reconnu. Ce besoin de reconnaissance interfère dans notre vie en influençant nos choix et en nous empêchant d'être nous-mêmes, préoccupés que nous sommes par le regard de l'autre... La solution ? Accepter ses défauts !... sans pour autant s'y complaire (cf.le "be yourself" qui sert souvent d'excuse aux fainéants). Le biais de la conformité sociale : c'est l'attitude poussant à adopter le même comportement, le même avis que celui d'un groupe d'individus. Ça vous dit quelque chose ? Le biais de sur-confiance : si vous commencez un apprentissage quelconque, il arrive d'être victime du biais de l'illusion de connaissance ou biais de sur-confiance. Tout apprentissage commence en effet par un pic de confiance en sa connaissance du sujet, conférant un sentiment de surpuissance. Ça ne dure pas ! |
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Abraham Maslow s'est penché sur les expériences paroxystiques et a essayé de lister leurs caractéristiques. Les expérimentateurs ont vu leur vie être transformée et ont vu émerger de nouvelles valeurs : confiance dans la vie, acceptation avec humour du monde et de son prochain, compassion pour l'humanité et respect de la vie, donc de la nature et des animaux, plus grande sensibilité à la beauté de l'univers et à la bonté de l'autre, plus grande acceptation de soi, donc moins de doutes et de blocages, gratitude... Ne pourrait-on s'en inspirer pour en tirer quelques règles de vie ?.... |
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Il est indéniable qu'il y a de plus en plus de connards ! Pour survivre tout en évitant de basculer dans leur camp, une seule solution, faites comme Robert Sutton : étudiez-les, faites en des sujets d'expériences, apprenez d'eux ! Considérez-les comme une chance, une opportunité d'apprendre et de progresser ! |
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Vous souhaitez vous débarrasser d'une fâcheuse habitude ? Rien de plus facile !... ou difficile... A vous de voir... En effet, il faut compter 3 semaines, c'est à dire 21 jours, soit un peu plus de 500 heures, pour s'empêcher de faire quelque chose ou pour acquérir une nouvelle habitude. C'est beaucoup... et ce n'est pas beaucoup à l'échelle d'une vie si l'on songe qu'il suffit de savoir ça pour se débarrasser de quelque chose qui vous handicape peut-être depuis des années !... Petite astuce : pour se débarasser d'une mauvaise habitude, plutôt que de lutter pour ne pas craquer, essayer de la remplacer par une autre, une bonne cette fois.... |
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L'évocation du pouvoir de l'imagination fait souvent sourire les esprits forts. Cependant, la simplicité de la Méthode Coué, de l'Autosuggestion ou du Training Autogène n'est qu'apparente ! En effet, la mise en pratique de ces techniques exige à la fois de l'imagination, de la constance, de la persévérance ainsi qu'une faculté de ressenti que seul l'entraînement et l'ouverture d'esprit permettent d'acquérir. On comprend donc pourquoi il est plus facile de s'en moquer. Cette situation est fort regrettable dans la mesure où les applications sont nombreuses, notamment dans les domaines thérapeutiques : la faculté de se visualiser (et de se ressentir) en pleine forme aussi bien physiquement que psychiquement permet d'aborder la vie avec un entrain rare. En effet, la visualisation d'un avenir où la maladie et la peur ont laissé la place à une santé resplendissante et une confiance en soi à toute épreuve a des effets psychosomatiques certains. Les techniques de relaxation et de méditation sont des compléments indispensables à connaître pour en tirer pleinement parti et aller éventuellement plus loin sur le terrain d'expérimentations sans limites de notre esprit. |
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Une autre façon d'atteindre l'illumination consiste à se laisser envahir par la Lumière ! Chacun qualifiera la Lumière à sa façon et en choisira le point d'entrée : le sommet de la tête, le coeur, les mains, les plantes des pieds... Voir aussi le Samadhi... |
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Comme l'a fait remarquer EINSTEIN la plupart de nos contemporains pourraient se contenter de leur moelle épinière. Rebelle à toute autorité, Albert considérait que pour marcher au pas ou en troupeau, le cerveau n'est pas indispensable ! A rapprocher de cette vérité : "On est homme au singulier, animal au pluriel". Albert aurait également déclaré, à la fin de sa vie : "Si j'avais su, je me serais fait plombier". Une telle réaction correspond bien à la médiocrité de l'époque actuelle incapable de gérer ses richesses intellectuelles... Pour info, Albert EINSTEIN, n'a jamais été un cancre, contrairement à la légende qui n'arrange que les vrais fainéants... |
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Si vous avez le malheur d'être riche et désœuvré, arrêtez de perdre votre temps - et accessoirement votre argent - à vous masturber devant vos bijoux vaniteux, vos gribouillages d'enfant que sont vos picassos et autres escroqueries intellectuelles et, tels les babouins hamadryas exhibant leur cul rutilant pour attirer la femelle, arrêtez de poser devant vos bagnoles hors de prix. Aidez plutôt les autres ! Bien sûr, pas les assistés professionnels qui ont été éduqués à tendre la main et cracher dans la soupe, mais les réels nécessiteux qui n'ont pas eu votre chance et tente de s'en sortir dignement. Oubliez votre nombril ventripotent, donnez-leur un coup de pouce discrètement et gardez-le pour vous ! Bonne conscience, impression d'être enfin utile à quelque chose et production d'endorphines assurées ! Attention cependant au risque d'addiction, similaire à celui de la résolution de problèmes. |
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La Réalisation du Soi consiste à comprendre que le cerveau n'est qu'un intermédiaire entre une entité psychique et une entité matérielle et qu'il est possible d'établir un contact avec cette entité psychique en partant du principe que : - les OBJETS et les EVENEMENTS sont des composants d'un ensemble qui fait partie d'un ensemble encore plus grand, et ainsi de suite. Objets et événements individuels existent mais leur individualité est d'une importance secondaire. - les EVENEMENTS ne sont ni bons ni mauvais. Tout fait partie de l'ensemble harmonieux de l'univers, sur un plan supérieur à toute appréciation. - les SENS donnent des informations illusoires et partielles. La connaissance vraie est acquise au cours de l'expérience directe. - le TEMPS est une unité dont la division est illusoire. La durée existe, mais au sens d'un "présent éternel". - la CONNAISSANCE provient de l'intégration au dessein et non du désir d'obtenir une information spécifique. Ni le temps ni l'espace n'empêchent l'échange d'énergie ou d'information entre deux sujets individuels, car les différences de temps et d'espace sont illusoires. |
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"L'enfant est obligé d'endurer une période d'impotence
et de dépendance plus longue que les jeunes de n'importe quelle autre
espèce. Il est permis de se demander si cette expérience initiale
de complète dépendance n'est pas responsable, au moins partiellement,
de la tendance de notre espèce à obéir, à se soumettre à l'autorité
imposée par des individus ou des groupes, et de sa suggestibilité
aux doctrines et aux symboles. En somme, si j'ose dire, le lavage
de cerveau commence au berceau." Arthur KOESTLER |
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La méditation contemplative permettant d'atteindre
une plénitude absolue implique les 3 principes suivants : - adopter une attitude corporelle où l'énergie primordiale est reçue, augmentée, conservée - mettre l'esprit dans un état de disponibilité totale, en le vidant de toute pensée parasite - s'identifier avec l'Absolu, jusqu'à ce que s'abolisse la distinction entre le sujet et l'objet |
Manipulation (exercice) : Aimez vos ennemis, ne serait-ce que pour leur porter sur les nerfs. |
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Ordinairement, nos pensées vagabondent en tous sens.
Nous oublions ce que nous sommes en train de faire pour songer aux événements de la veille ou aux projets du lendemain.
L'illumination - Samadhi - consiste à être concentré sur l'action présente et à être maître de son âme. Elle peut être atteinte en 3 étapes : - la première est le "Samadhi sans image" : il faut visualiser son esprit comme un ciel sans nuages. Les nuages, qu'ils soient noirs, gris ou or, sont nos pensées qui troublent le ciel. On les chasse une par une au fur et à mesure qu'elles apparaissent, jusqu'à avoir un ciel clair. - La deuxième étape est le "Samadhi sans direction" : c'est un état dans lequel il n'y a pas de chemin particulier vers lequel on souhaite aller, on a aucune préférence dans aucun domaine. On se visualise comme une sphère posée sur un sol plat qui malgré sa forme et sa fonction ne roule nulle part. - Enfin la troisième étape est le "Samadhi de la vacuité" : c'est une expérience dans laquelle on perçoit tout pareil. Il n'y a ni bien ni mal, pas de choses agréables ou déplaisantes, ni passé, ni futur, pas de choses proches ou lointaines. Tout est égal. Et comme tout est similaire, il n'y a aucune raison d'adopter une attitude différente envers quoi que ce soit. C'est alors que l'on accède à sa vraie nature, celle qui n'a peur de rien et qui sait tout !... |
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Comment avoir une discussion sereine et positive par les gestes et postures ? Optez pour ces gestes plutôt "féminins" :
Si vous souhaitez au contraire donner une apparence dominatrice : |
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